Début 2011, les Egytpiens ont envoyés une expression d'intérêt pour 12 à 20 Rafale. A l'époque, Dassault ne s'était pas intéressé au sujet.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi le 26 et 27 novembre 2014 en visite à Paris a réévoqué le sujet qui porterait alors sur 24 appareils.
9 février 2015 : Le président égyptien approuve le contrat d’achat de 24 Rafale, d’une frégate multimission FREMM et de missiles MBDA pour un montant de plus de 5 milliards d’euros.
12 février 2015 : L’accord de vente à l’Égypte de 24 avions Rafale, d’une frégate multimission FREEM et de missiles courte et moyenne portée MBDA, pour un montant de plus de 5 milliards d’euros, vient d’être paraphé par les différentes parties.
Presque entièrement détruite au cours de la guerre des Six Jours (1967), la force aérienne égyptienne s'est reconstruite et modernisée après son rapprochement vers les États-Unis, et dispose aujourd'hui de :
Communiqué de presse Dassault Aviation du 12/02/2015 :
"La société Dassault Aviation est très honorée que la République arabe d’Egypte ait choisi le Rafale pour équiper son armée de l’air. Cette décision pérennise une coopération qui remonte aux années 70 et qui permet au Mirage 5, à l’Alpha Jet et au Mirage 2000 de voler sous les cocardes égyptiennes. Le Rafale correspond aux besoins des pays qui, comme l’Egypte, veulent disposer en toute souveraineté d’une armée de l’air de premier rang."
Au 14 février 2015, le contrat porte sur 16 biplaces et 8 monoplaces. Les 3 premiers devraient être prochainement livrés en ponctionnant des appareils destinés initialement à l'Armée de l'Air. Livrés au standard F3, ils seront capables d'emporter le pod Reco-NG, le missile de croisière "Black Shahine" (version export du Scalp).
Les livraisons s'échelonneront sur 5 ans et le contrat est officiellement signé le 16 février 2015 au Caire. Les 6 premiers appareils pourraient être livrés avant la fin 2015.
Les 3 premiers exemplaires sont livrés à Istres en juillet 2015 ... © DA - Antony Pecchi
Retour sur une chronologie ...
12 Mirage 2000-5 EAD à remplacer. Appareils livrés en 1997.
Eté 2012, une évaluation situait le Rafale devant le F-15E et le F/A-18E/F à l'issue d'une trentaine de missions ... A cette époque, les Qataris veulent 72 avions de combat, probablement en 2 tranches (36+36).
Fin 2013, le Rafale semble avoir pris l'avantage sur le Typhoon du point de vue des pilotes ...
Novembre 2014 : le Qatar serait-il entré en négociations exclusives avec Dassault ? ... Mystère ...
30 avril 2015 : l'Elysée annonce que Doha va acquérir 24 exemplaires, pour un total de 6.3 milliards d'euros.
Janvier 2017 : les essais débutent pour le viseur de casque israélien Elbit Systems "Targo II"
Décembre 2017 : commande additionnelle de 12 appareils
Communiqué de presse du 30 avril 2015 :
"Dassault Aviation est honoré de la décision du Qatar d’acheter 24 Rafale pour équiper son armée de l’Air.
La signature du contrat entre l’État du Qatar et Dassault Aviation aura lieu ce lundi 4 mai, à Doha, en présence de Monsieur François Hollande, Président de la République française.
A la suite du Mirage F1, de l’Alpha Jet et du Mirage 2000, le Rafale prolonge le partenariat historique qui associe le Qatar, la France et Dassault Aviation.
« Ce nouveau succès de l’équipe France témoigne des qualités opérationnelles du Rafale et confirme la confiance que les pays déjà utilisateurs du Mirage 2000 placent dans notre société », a déclaré Eric Trappier, Président-Directeur général de Dassault Aviation.
Dassault Aviation, ses partenaires Thales et Safran, ainsi que les 500 entreprises associées au programme Rafale se félicitent de ce nouveau contrat qui vient consacrer leur compétitivité et leur savoir-faire industriel et technologique."
La force aérienne du Qatar se compose aujourd'hui de :
Initialement, l'objectif était d'acquérir 126 appareils destinés à remplacer le mythique Mig-21 Fishbed ...
Un contrat estimé à 18 milliards d'euros qui reste désormais à finaliser ...
Le Mig-21 fut livré à l'Inde à partir de 1964. A ce jour, cet avion détient un bien triste record : 116 appareils détruit en grande partie depuis 1990, plus de 100 pilotes tués.
Le contrat indiens est évoqué pour la première fois dans une revue Air Fan datant de novembre ... 2000 !
En 2015, face à une flotte vieillissante et l'urgence opérationnelle, l'Inde opte en avril pour une commande initiale "sur étagère" de 36 Rafale après 3 ans de négociations exclusives avec Dassault Aviation.
Chronologie du programme MMRCA (Medium Multi Role Combat Aircraft) :
Communiqué de presse du 10 avril 2015 :
"Dassault Aviation, qui fournit les Forces aériennes indiennes depuis plus de soixante ans, est honoré de la confiance réitérée du Gouvernement indien et se félicite de son intention de finaliser une acquisition de 36 Rafale à des conditions qui permettront de satisfaire rapidement les besoins de sécurité de l’Inde.
Dassault Aviation remercie les Autorités indiennes de lui donner l’opportunité de poursuivre et de renforcer leur collaboration, et rappelle sa fierté de contribuer à la défense et à la souveraineté de l’Inde.
« Au moment où nous livrons les premiers Mirage 2000 rétrofités, je me réjouis de la décision des Autorités indiennes qui donne un nouvel élan à notre partenariat pour les prochaines décennies et qui s’inscrit dans la relation stratégique unissant la France et l’Inde », a déclaré Eric Trappier, Président-Directeur général de Dassault Aviation."
L'Indian Air Force se compose aujourd'hui d'environ :
Le projet de loi de programmation militaire prévoit l’acquisition de 26 avions de combat Rafale supplémentaires, à hauteur de 11 appareils en 2014, 11 en 2015, quatre en 2016 et aucun entre 2017 et 2019. Ce calendrier de livraison est le fruit d’un compromis entre le format des armées arrêté par le Gouvernement, les capacités budgétaires mises à disposition du ministère de la Défense et la logique de production industrielle de Dassault Aviation. Afin de maintenir son rythme de production en 2016, l’entreprise compte sur des ventes d’exportations à un ou plusieurs États étrangers, dont l’Inde.
En réponse au rapport de la Cour des comptes de 2010, le ministère de la Défense a estimé le coût de production unitaire du Rafale à près de 100 millions d’euros : une modification des commandes sur ce programme aurait donc pour conséquence directe un écart très significatif avec la trajectoire financière actuellement fixée dans le projet de loi de programmation militaire. Cette fragilité intrinsèque a donc suscité la création d’une « clause de revoyure », inscrite à l’article 4 bis du présent projet de loi, prévoyant une première actualisation avant la fin de l’année 2015, qui se fondera notamment sur la base des résultats obtenus.
Il convient toutefois de souligner que le délégué général pour l’armement, M. Laurent Collet-Billon s’est montré plutôt confiant dans les perspectives d’exportation du Rafale en indiquant travailler « à la vente de 126 Rafale à l’Inde – dont dix-huit fabriqués en France – et de 36 appareils au Qatar – même si ce chiffre n’est pas encore arrêté. Je suis persuadé que nous réussirons à conclure le marché avec l’Inde, même si nous pourrions attendre jusqu’à la fin de l’année 2014 pour des raisons de fonctionnement administratif, d’attention portée par les Indiens au respect des procédures, de calendrier politique et de nécessité d’adapter certains de leurs équipements au Rafale. Sur ce dernier point, l’intérêt de l’opération avec le Qatar réside dans la proximité de la définition technique des avions avec la nôtre. À plus long terme, le Brésil pourrait réapparaître comme un marché potentiel ».
Dans le même sens, le ministre de la Défense, M. Jean-Yves Le Drian, s’est déclaré « optimiste sur la capacité de Dassault Aviation à conclure des contrats permettant la continuité de son plan de charge (…). Les toutes récentes déclarations du PDG du groupe, M. Éric Trappier, nous confortent dans cette analyse ».
Ce dernier a en effet déclaré que « nous avons besoin de construire un Rafale par mois, et onze par an, pour conserver la capacité de production de cet avion. Nous avons fait le pari de produire à cette cadence jusqu’en 2016 pour équiper l’armée française, ce qui laisserait à l’État et à l’industrie le temps de mettre en commun leurs efforts en vue d’obtenir un contrat à l’exportation dans un des pays où les négociations sont assez avancées ».
Les appareils du marché (coûts février 2014) :
(*) La cour des comptes américaine estime, en avril 2014, les coûts du F-35 de la façon suivante :
Le Programme F-35, c'est en synthèse (novembre 2014) :
Eléments de comparaison (2011/2012) avec le Mirage 2000 :
Sources :
http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-22636QE.htm
http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-47343QE.htm
En comparaison, les prix catalogue "civil" AIRBUS, sont :
Dans le cadre du remplacement de sa flotte de CF-18 (80 exemplaires), le Canada envisage en 1997 l'acquisition de 65 F-35A. Face à la montée des coûts enregistrée par le programme JSF, de nombreux politiciens critiquent alors ce choix dés 2010.
En 2014, les performances suivantes du Rafale sont mis en avant :
http://blogs.ottawacitizen.com/2014/03/05/the-rafale-as-canadas-next-fighter-part-1/
http://blogs.ottawacitizen.com/2014/03/05/the-rafale-as-canadas-next-fighter-part-2/
http://blogs.ottawacitizen.com/2014/03/07/the-rafale-as-canadas-next-fighter-part-3/
Novembre 2014 : 4 F-35 pourraient finalement être sortis du stock de l'USAF pour accélérer le processus de vente au Canada.
F-35, Gripen, Typhoon, Super Hornet et Rafale se valent !
"Ayant évalués chaque capacité des appareils par rapport à deux périodes, soit de 2020 à 2030 et au-delà de 2030, les panélistes concluent que, pour les six missions que devront effectuer les avions (soit la Défense du Canada, l’Événement international au Canada, l’attaque terroriste, l’imposition de la paix, la participation à des opérations de combat de coalition entre États et l’aide humanitaire et secours en cas de catastrophe) «tous les avions ont été évalués comme présentant un risque faible à moyen pour ce qui est de leur capacité à mener cinq des six missions de la ‘Stratégie Le Canada d’abord’». Seules les missions de guerre entre États feraient que le niveau de risque passe de faible à important pendant la première période et de moyen à élevé pendant la deuxième période."
Que dire de ce petit état d'Asie du sud est ? 900 millions d'euros de budget de la défense par an et 18 appareils en appel d'offre ...
Le projet a pour objectif le remplacement de la flotte de Mig-29 N entrés en service en 1995.
A noter que la Malaysie utilise également des Su-30, ainsi que des F-18C/D.
Dans ce marché, rien de moins que de remplacer les 60 Mirage 2000-9 existants ... la version la plus moderne du "2000" !
Reste un problème conséquent : que faire des "-9" à reprendre ? ...
Décembre 2013 : les EAU rejettent l'offre portant sur l'Eurofighter Typhoon.
Janvier 2014 : une demande d'acquisition pour 30 F-16E/F supplémentaire est faite à Washington (Block 61).
La Belgique communique en juin 2014 sa demande d'information à 5 industriels de la défense, dont Dassault Aviation. Objectif : pourvoir au remplacement des F-16 entrés en service en 1979, et dont le retrait est envisagé pour 2023. 34 appareils sont envisagés.
Sur 160 F-16 livrés, seuls 54 exemplaires restent en services.
Si l'achat des appareils est évalué à près de 3,5 milliards d'euros par l'officier en charge du programme, le colonel Harry Van Pee, le coût total est bien plus important. Il comprend l'acquisition, l'entretien, l'utilisation, l'entraînement du personnel, les éventuelles pièces de rechange et modifications à long terme. Le tout estimé à 15 milliards d'euros, sur une période de 40 ans, donc 375 millions d'euros par an, en moyenne.
25 novembre 2014 : Le GIE Rafale ouvre un bureau à Bruxelles pour assurer la promotion du Rafale. Le transfert de technologie proposé serait "total", assurant à la Belgique un retour sur investissement au moins équivalent à l'acquisition des Rafale.
© Philippe AMIEL
Ce marché portait sur l'acquisition de 36 machines visant au remplacement des F-5 dans un premier temps. Initié en 2001, abandonné puis repris en 2008, cet appel d'offre est perdu en décembre 2013 au profit su SAAB Gripen.
Communiqué de presse Dassault Aviation du 18 décembre 2013 :
"Nous regrettons que le choix se porte sur le GRIPEN, doté de nombreux équipements d’origine tierce, notamment américaine. Il n’appartient pas à la même catégorie que le RAFALE : monomoteur et plus léger, le GRIPEN n’est pas équivalent en termes de performances et donc de prix. Cette logique financière ne prend en compte ni le ratio coût-efficacité favorable au RAFALE, ni le niveau de la technologie offerte."
Saab annonce avoir finalisé la vente de 36 avions Gripen E au Brésil pour 4,28 mrd EUR en octobre 2014.
Novembre 2014 : au final, 108 Gripen E sont commandés.
Arrivé grand gagnant de 2 séries d'évaluations, le Rafale n'en sera pas moins éliminé le 30 novembre 2011 de la course au titre visant au remplacement de la flotte de F-5 Tiger (66 exemplaires entrés en service en 1975).
Le Gripen retenu ... Les évaluations du modèle "E/F" commencent pour l'acquisition de 22 machines dans un budget de 2.6 milliards d'euros.
Une question demeure : sans moquerie, le Gripen sera-t-il seulement d'un quelconque apport par rapport au F-18C/D déjà en opération dans la force aérienne suisse ? ...
Les premiers Gripen sont attendus courant 2018 ...
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18 mai 2014 : par voie de référendum, la Suisse rejette le projet d'acquisition de 22 Gripen.
Restent désormais les 54 F-5 qui seront retirés du service en 2016 et les 32 F/A-18 qui devraient rester en service jusqu'en 2025.
Communiqué de presse de Dassault Aviation du 30 novembre 2011 :
"L’équipe RAFALE a pris bonne note du choix des Autorités Suisses pour l’acquisition de leurs futurs avions de combat. Elle regrette que le Conseil Fédéral, comme il l’a officiellement exprimé, ait « sciemment décidé de ne pas positionner la Suisse au plus haut niveau européen s’agissant des performances des nouveaux avions de combat ».
Les capacités du RAFALE permettraient à la Confédération Helvétique d’acquérir un nombre inférieur d’appareils pour répondre aux besoins opérationnels, à un coût équivalent ou inférieur, tel que démontré lors des évaluations des Forces Aériennes Suisses.
Le GRIPEN « helvétisé » n’existe que sur le papier. Son développement technique et sa production devraient accroître significativement les efforts financiers des Autorités Suisses pour la réalisation de ce programme.
RAFALE INTERNATIONAL remercie les 250 sociétés suisses qui ont adhéré à son projet de partenariat industriel dans les 26 cantons de la Confédération Helvétique."
Pod Sniper, radar AESA (APG-63(V1)), JHMCS, etc. : les grands moyens étaient mis à disposition de Singapour ...
Véritable nouvelle variante du F-15E, cette version est baptisé "Slam Eagle". 40 exemplaires en première commande ...
12 appareils commandés en 2005, puis 12 de plus en 2007.
La flotte est porté à 40 machines en 2014.
Dans le cadre de l'appel d'offres lancé en 2001 par la Pologne pour l'acquisition d'avions multirôles, trois fournisseurs avaient été consultés : le consortium Dassault, Thalès, Snecma (Mirage 2000-5), Lockheed Martin (F16) et BAe Systems - SAAB (JAS 39 Gripen). Les critères de choix retenus étaient pondérés de la façon suivante : 45 % pour les conditions financières, 40 % pour les caractéristiques opérationnelles et 15 % pour les compensations industrielles.
Dès le début, le F16 est apparu comme ayant la préférence des autorités polonaises. La volonté politique américaine d'obtenir ce contrat a été clairement illustrée par la décision du Congrès américain d'accorder à la Pologne un prêt FMF (Foreign Military Financing), d'une durée de 15 ans, dont 8 ans de carence. Lors de sa demande au Congrès, l'exécutif américain avait été sans ambiguïté : " Le prêt FMF est essentiel pour s'assurer que la Pologne soit en mesure d'acquérir le F16, plutôt que ses concurrents européens. " Les industriels français, soutenus par les pouvoirs publics, ont néanmoins décidé de s'engager dans la compétition avec détermination. L'offre française a ainsi bénéficié d'un soutien politique au plus haut niveau de l'Etat, et le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie a, pour sa part, décidé d'autoriser la Coface à intervenir dans des conditions tout à fait exceptionnelles, afin de permettre à nos industriels de remettre une offre financière comparable à l'offre américaine. Pour leur part, les industriels avaient fait un effort important sur les prix, et leur offre était tout à fait compétitive. Le 27 décembre 2002, les autorités polonaises annonçaient le choix du F16, l'offre américaine étant considérée comme " la plus profitable et la plus complète pour l'armée de l'air et l'économie polonaise ". Selon certaines sources, les compensations industrielles proposées par les Etats-Unis auraient joué un rôle déterminant. On peut cependant observer que ce critère ne pesait que pour 15 % dans le choix des avions.
La Pologne signera le traité d'adhésion à l'Union européenne le 16 avril 2003 et, deux jours plus tard, l'achat de 48 F-16 pour 3,5 milliards d'euros ...
Le seigneur F-15 l'emporte. Un slogan : "101 victoires aériennes ... et pas une perte".
"Trois facteurs ont été pris en compte: l'impact sur la sécurité nationale, les relations étrangères et les marchés extérieurs", a dit le ministère dans un communiqué.
Le F-15K et le Rafale restaient officiellement en compétition dans la phase finale de sélection mais la presse sud-coréenne affirmait depuis plusieurs semaines que l'appareil américain avait déjà été choisi. Les autorités de Séoul avaient éliminé fin mars deux autres avions, le Typhoon produit par le consortium Eurofighter et le Su-35 du russe Sukhoï. Des journaux sud-coréens avaient alors rapporté que le F-15 avait été retenu et qu'il ne s'agissait que d'une fausse concurrence.
Evoqué pour la première fois dans la revue Air Fan de novembre 2000, les espoirs auront été vains ... 40 F-15K seront livrés pour plus de 4 milliards de dollars.
Techniquement, le Rafale l'avait pourtant emporté ... mais la présence de 37000 soldats américains au sol oblige les coréens à suivre Washington.
Le "JSF" s'impose ... du moins sur le papier ... pour remplacer sa flotte de F-16A.
Rappelons le résultats des "évaluations" :
Le premier prototype est livré en avril 2012, un second en mars 2013.
Les Pays-Bas devaient en commander 85 exemplaires mais les surcoûts financiers et les problèmes techniques du F-35 ont eu raison des prévisions initiales de l'armée de l'air néerlandaise. 37 appareils sont en fin de compte commandés en 2013 pour 4.5 millirads d'euros.
Le F-16 a été commandé par les Pays-Bas à 213 exemplaires, 68 furent modernisés "MLU" et restent actuellement en service ...